L'Homme, La Terre et ses Secret ... (mise a jour)

Laisses moi te conter Seigneur l'histoire d'Evendoria de Terrendis (Grand commandeur des Armées de Terrendis).
Seigneur et maître de s terre de Terrendoria...


A CHARLEMAGE qui m’a Accepté chez les Mages Blanc...

Aux Angels' Battefields qui m'ont permis de grandir.

A mes amis Aichanne et Alphaville qui m'ont permis
de faire surgir du néant les Armées de Terrendis...




LIVRE I (La genèse)



Descendant d'une longue lignée de Soldats au service des uns et des autres sans morale et sans patrie.
Evendoria décida le jour de ses vingt ans, de quitter cette famille, que dis-je ?
Cette meute de bêtes sauvages qui ne pensait qu'à tuer et piller.
Il parti se réfugier dans les montagnes de Terrendis pour échapper au courroux de son père, de ses frères, ainsi que de
tous les hommes de son clan pour qui son départ était vécu comme une trahison.

Les semaines, les mois passaient, la peur avait fait place à la prudence, Evendoria commençais à s'organiser, entre la
chasse, la cueillette, la pêche et le ramassage du bois pour son abris de fortune: Même pas... Il avait découvert des
grottes en étages, ces habitations troglodytes étaient parfaites pour sa sécurité. Leur accès escarpé faisait qu’il voyait
depuis son abris l'ensemble de la vallée ou coulais un petit torrent.

Un jour, alors qu'il était là à épier ce cerf qui allait lui servir de repas pendant plusieurs jours...

Il entendit un Léger chuintement dans les branches basses des chênes qui l'entouraient, ce bruit inhabituel attirât sont
attention, toujours aux aguets à la moindre anomalie il pensait

-" Ce doit être un membre du clan qui c'est aventuré jusque là pour la récompense que mon père offre pour ma capture".

Il n'avait pas fini sa pensée qu'un vieil homme (c'était plus qu'un vieil homme...), on ne pouvait lui donner d'âge tellement
il paraissait avoir cent ans, avoir mille ans, avec ses longs cheveux gris blancs, son teint blanc cireux, sa barbe qui lui
descendait jusqu'au ventre et ses mains longues et sèches comme un coup de trique, tout en lui le faisait paraître vieux
et faible…

Mais là, Evendoria n'en croyait pas ces yeux (le vieux !!!), se déplaçait presque en courant avec une agilité déconcertante
dont même lui était incapable. Il semblait flotter et le seul bruit que l’on entendait était en fait le bas de sa longue toge
bleu acier qui par moment frôlait le sol.

Evendoria était là, à ce demander que pouvait’ il bien faire ici, qui était cet intrus sur son nouveau territoire.

Aussi, il se décida à le suivre.
Des heures durant, dans les broussailles et les chemins escarpés, au travers des bois touffus et des ruisseaux à l'eau
claire et pure sur les pentes arides et dans les vallées remplies de feuillus…

Evendoria avait suivit ce vieillard infatigable. Enfin il venait de s'arrêter prés de ce vieux chêne,: Devait il lui aussi
reprendre son souffle (Evendoria n’en pouvait plus tellement il avait couru qu’il avait du mal a respirer, ses pauvres
poumons le brulaient). Même pas, Il semblait tout simplement arrivé.

Rompus, meurtri, non seulement à bout de souffle, mais aussi et affamé par cette course folle, Evendoria décida de se
rapprocher sans faire le moindre bruit; mais alors qu’il n’avait pas encore bougé, il s’entendit appeler par l’inconnu.

- " Viens donc dîner avec moi, tu ne vas pas rester dans les buissons toute la nuit quand même ? ".

Evendoria était abasourdis, il avait pourtant fait preuve de milles précautions (il était le meilleurs de sont clans pour
l'approche et l'espionnage), mais là... Il ne savait que faire.

Le vieil homme repris d’une voie tranquille mais ferme.

- " Alors Evendoria, tu viens ou tu préfère dormir à la belle étoile ? ".

De plus en plus étonné, Evendoria décida de s'avancer prudemment jusqu’au vieil homme (comment connait il mon
nom ? Pourtant je ne l'ai jamais rencontré ???).

Face au vieil homme il avait pourtant un sentiment de déjà vu !!!

Il avait beau chercher au tréfonds de sa mémoire rien, le vides aucuns souvenirs mais ou l'avait il vu? Comment savait
-il son nom ? Qu'est ce que c’était encore cette histoire (il lui revint en mémoire toutes ces histoires qui couraient sur
lui. Ont l'avait vu, la nuit, sortir de sa tente et partir dans la forêt, ses frères avaient bien essayés de le suivre mais à
chaque fois ils l'avaient perdu.

Aujourd'hui ce même sentiment mêlé d'incompréhension et d'apaisement l’assaillait.
Il décida de faire confiance à son instinct (ne l'avait' il pas toujours aidé ??? ).
Le vieil homme souriait sa voie était reposante (Evendoria ne se rendit même pas compte qu'il venait de pénétrer dans le
vieux chêne…
Quand tout à coup, un bruit épouvantable de bois et de verres cassés attira son attention...
Hein, Que se passe-t-il ? Ou suis-je ?

Il était là vautré au pied de la table, son père et sa mère écroulés de rire de voire son regard hébété.
- " Hé! Even !!! (C’était le diminutif que son père garde chasse du seigneur de Terrendis lui avait donné).
Tu ne supporte pas le vin Fils ?
Aller, va te passer sous l'eau de l'abreuvoir le seigneur t'attends, c'est un grand jour pour toute la famille notre bon
maitre à décider (comme il n'avait pas de fils), que tu serais son filleul et que tu recevrais savoir et éducation.
Voilà toute l'histoire de se seigneur qui aujourd'hui se présente devant vous.
Grâce à la bonté et à la générosité d'un homme qui m'a appris que...
Toute vie en vaut une autre, qui que tu soit d'ou que tu viennes.

Cette histoire n'est pas une histoire...
Elle est la vérité de ma vie.





LIVRE II (Le développement)

Les années étaient passées, Evendoria avait fait l’objet de toutes les attentions du seigneur de Terrendis, rien ne lui avait
été épargné, il lui avait fallut apprendre à lire, à écrire, les mathématiques, les sciences… même danser tout cela lui
paraissait parfois inutile et vain comment le fils d’uns pauvregarde chasse pouvait il rivaliser avec les fils des seigneurs de
la régions?
Pourtant, à force de travail et d’acharnement il y était arrivé. Le plus facile pour lui fut le maniement des armes (c’était sa
passion).
Mais les choses ne sont jamais simple dans la vie, la jalousie des fils des seigneurs l’avait souvent conduit à la solitude,
encore plus depuis la disparition de ses parents ainsi que du duc de Terrendis morts lors d’une attaque menée par des
brigands disait on.
Mais Evendoria n’était pas dupe, même si à l’époque il lui avait fallu faire profil bas et accepter ces explications comme
étant les bonnes, il savait au fond de lui même qu’il n’en était rien c’était purement et simplement un assassinat programmé
pars la jalousie d’un cousin éloigné qui voyait d’un mauvais œil l’ensemble des terres , de l’argent et des titres de son
oncle « chéri »… lui échappé au profit d’un bâtard comme il aimait à appeler Evendoria.

Aujourd’hui Evendoria pouvait enfin recommencer.
Progresser dans le droit fil des préceptes qu'on lui avait inculqué, seul cela comptait maintenant que le ciel semblait
s'être enfin éclairci…

Sur ces nouvelles terres proche d’Inutopia (Terrendis), il regardait le soleil se levé au dessus des grands
lacs.
Certes, sont château n'était pas très grand ni très majestueux, mais il était sien, durement gagné à force de volonté et de
labeur, quinze ans au service de la famille régnante sur Inutopia sans relâche ni repos, sans famille ni attaches.
Il estimait avoir amplement mérité ces terres ainsi que le titre de Baron lui qui avait été donné, lui Evendoria fils d’un garde
chasse, le premier gueux adoubé chevalier par le roi.

Mais, dans la vie, tout semble recommencer à chaque fois, chaque avancée se fait toujours en payant le prix fort, et
Evendoria n'allait pas tarder à l'apprendre.
Il était loin de se douter que la jalousie et de la méchanceté du monde qui l'entourait auraient quasiment raison de ses
forces et de sa volonté.

Là, ce fut les pillages ininterrompus, les pires difficultés pour pouvoir avancer, la pire des misère pour pouvoir monter son
armée.
Evendoria en était arrivé à un point ou il voulait tout quitter, quitter Terrendis ! Voir même partir d’ Inutopia et rentrer
chez lui, retrouver la douceur de vivre des terres de Terrendis.

Encore une fois le destin allait frapper sa porte sous la forme d’une rencontre.
Cette rencontre ne pouvait être fortuite elle semblait être le fait des puissances supérieures..
En effet, tout dans cette rencontre lui rappelait le passé, même vieillard barbu, même grande toge. Il le vit arriver au loin ,
c’était forcément lui il ne pouvait pas se tromper, plus il avançait vers lui, plus Evendoria se sentait repartir dans ses
rêves oniriques d'ou il revenait toujours avec de nouvelles idées pour sont peuple…

Mais là... Non, il ne rêvait pas, il était bien réel ce vieil homme qui s'avançait vers lui.
- "Holà Viel homme, que puis-je faire pour vous" lui dit il sur un ton de grand seigneur.
- " Vous pour moi ? (lui rétorqua le vieux), c'est plutôt moi pour vous monseigneur".
- « ha bon, et que pouvez vous faire ou m'apporter que je n'ai déjà ?".
-" Une famille, un idéal, bref en un mot un avenir...".
Devant ses propos Evendoria savait au fond de lui-même que toute sa vie tenait là à cet instant, comme si tout ce qui était
arrivé n’était arrivé que pour cet instant… En l’espace d’une minute Evendoria se remémora toute la chronologie de sa vie
et tout s’emboitait parfaitement pour le conduire a ce moment précis ou en quelques minutes il allait devoir décider pour le
reste de sa vie.
Et c'est ainsi, après avoir écoute Charlemage pendant des heures lui expliquer toutes ces choses qui lui semblaient
troubles voir folles qu'Evendoria se décida de rejoindre la grande cité Blanche.

Bien sur qu’il en avait entendu parler, c’était un mythes, une légende beaucoup aurait voulu y accéder mais peu d’élu car
la sélection était rude. Il fut tout d'abord apprenti, et ses maîtres n'étaient pas tendre avec lui des jours et des nuits
entières à travailler pour apprendre et progresser.
Toutes le matières tels la magie étaient au programme des jours et des semaines à avancer pas à pas pour gagner en
confiance puis faire preuve de son courage et de son dévouement. Un beau jour, Evendoria fut convoqué devant le conseil de
sages et on lui annonça.
- Seigneur Evendoria de Terrendis, à compter de ce jour "Vous êtes un Mage Blanc " ; portez haut ces couleurs et
respectez nos règles".
- "Choisissez vous une famille et faite lui honneur".
C'est ainsi que depuis ce jour seigneur qui se présente devant vous, après moult quêtes et de nombreuses batailles, est fier
d'appartenir à l'illustre famille des Mages Blanc.




LIVRE III (la retraite)

Les années ont passée, Evendoria devenait un Mage Blanc respecté.
Un jour, alors qu’il se promenait sur les rives du lac D’Ereins, immense lac qui bordait la grande forêt de Terrendis,
il se mis à réfléchir... (Ou vais-je, que fais-je de ma vie ???).

Toutes ces aventures lui avaient elles emmenées quelques choses...
Plus il réfléchissait, plus en lui la certitude de devoir partir s'encrait, que connaissait il d'Inutopia ???
Rien en fait; Dure réalité qui lui pesait de plus en plus.
Après avoir réfléchit quelques temps, il décida de quitter la grande cité blanche des Mages Blancs.
Oui, il allait tout abandonner pour faire retraite (un retour aux sources en quelques sorte, il se devait de faire le chemin tel
un nouvel apprentissage, telle une initiation, une purification...
Tout laissé derrière lui "Adieu château, famille, amis et tout ce que représentait les Mages Blancs" (pour sur qu'il ne les
oublierait jamais).
Mais il était temps de faire son chemin, de trouver sa voie.

Peut être un jour, quand il aurait trouvé la plénitude et la sagesse il reviendrait.
Mais aujourd'hui c'était le début d'un long chemin qui se présentait à lui, nul ne savait ou il finissait ni même si il
finissait c'était sa quête du Graal, sa purification.

Il laissa un mot à ces amis et parti...
Depuis sur Inutopia vous pouvez le croiser au détour d'un chemin, à guerroyer contre les oppresseurs de toutes sorte, ou
encore à la table d'une taverne un soir de trop grande solitude à conter ses histoires et ses batailles.


Si vous le rencontrez ne le jugez pas......




LIVRE IV
(Le renouveau)


Evendoria de Terrendis c'était retiré des hommes et avait quitté la grande citée Blanche mais il n'arrivait pas à
retrouver la paix intérieure.

Partit se réfugier dans le seul endroit dont il savait que personne ne viendrai le déranger, il avait retrouvé ces
anciennes habitudes de chasse et de cueillette.
Certes ! Ce n'était pas là, les fastes de son château mais sa caverne l'avait protégé et il s'y sentait comme dans un autre
monde, à l'écart des hommes retiré d'Inutopia.

Parfois, lorsque la solitude lui pesait de trop, Evendoria partait sur les routes d'Inutopia s'enivrait dans les tavernes en
racontant sont histoire.

Mais un matin, une lumière le réveillât. Surpris, en colère contre lui même; de ne pas avoir entendu ces intrus arriver il
se leva d'un bond prêt à en découdre...
A sa grande surprise, personne, pas âmes qui vive dans sa grotte, ou, tout à coup régnait une atmosphère chargée, dense,
plus d'écho, plus le bruit du torrent qui coulait en contrebas, non plus les bruits habituels de la forêt environnante.

Evendoria avait déjà ressenti cela par deux fois, et chaque fis, son avenir avait été changé...
Il ne comprenait pas ... pas de barbu en grande toge à l’horizon, rien si ce n'était cette lumière douce, mais tangible
comme matérielle, Allait il la toucher,?
Après un bref moment d'hésitation il se décida enfin que pouvait il craindre de toute façon...
Là, il se senti enveloppé puis come happé par la lumière tout son corps se disloquait.
Puis ce fut le trou noir l'attente sinistre et interminable (Evendoria pensait voilà c'est fini pour moi les grands esprits
d'Inutopia m'on rappeler à eux).
Petit à petit son esprit tout d’abord puis son corps semblaient à nouveau ne faire plus qu'un, ses yeux commençaient à
apercevoir des formes diffusent tout d’abord puis plus nette pour enfin se retrouver devant LUI, non ce n'était pas possible
se ne pouvait être LUI on l'avait vu disparaitre et monter au ciel....
Ses idées étaient à nouveau claires, Evendoria voyait et entendait, mais il n’arrivait pas à croire à ce que Mitchos
et Sa compagne Dame Elodie étaient en train de lui dire…
-« Evendoria de Terrendis,; Nous t’avons fait venir auprès de nous parce qu’il est temps pour toi d’accomplir ta vie.
Tu recevras parmi nous le savoir nécessaire à ta future tâche ».

Que pouvait il faire, que devait il dire, Mitchos était du temps ou Evendoria l’avait connu chez les Mages Blancs considéré
comme un dieu vivant, et depuis sa montée au ciel bon nombres d’histoire couraient sur lui et ses anges ( les Angels’
Battefield),

Evendoria était honoré de pouvoir être de ceux là…
Il le savait enfin, il le sentait au plus profond de lui-même c’est là que ce trouvait sa voie,
Il ne s’attendait pas à ce que ce soit facile mais, peu lui importait l’essentiel était là il avait retrouvé en arrivant bon
nombre de connaissances soit des mages blancs soit d’autres clan avec qui il avait croisé le fer. Tous de respectable
guerriers endurcis au combat mais don le cœur avait su rester pur...







LIVRE V
(La quête)

Le temps c’était écoulé sur les terres sacrées des Angels’ Battefield.

Bon nombre de combats avaient eu lieux, mais le plus ardent de tous étaient sans conteste le chalenge heverly’s,
ce chalenge créer en l’honneur des morts pour leur village par les honorable seigneurs de la cité perdue.

Tout commença par l’arrivée un matin blafard du mois de novembre du seigneur Aldarion dernier descendant des morts
d’Heverly’s, il portait une invitation pour participer à ce glorieux chalenge ou de grand clans avaient inscrit leur
nom…

Ce jour là point besoin de concertation, dans leur tête tout les Anges le savait, il nous fallait participer, en effet ce chalenge
renfermait dans sa nature même l’ensemble des devoirs qui régissait les terres sacrées.
Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que Métatron , parle au travers de notre Archange « Mitchos ».

Nous nous présentâmes au chalenge ou, nos adversaires (souvent bien plus expérimentés que nous), les Templiers,
Faérie, et les Vardens (organisateurs).
Nous attendaient de pieds ferme.
La première croisade contre nos amis Templiers fut rude et très discutée, mais la pugnacités et le courages des Anges,
nous permirent au bout du compte de sortir vainqueur.

La seconde bataille contre nos amis Varden fut elle aussi très difficile et, ce n’est qu’au prix d’une rigueur et d’un courage
hors du commun que nous pûmes sortir là aussi vainqueur.

Pour remporter ce chalenge il nous fallait encore remporter une victoire contre Faérie… Là, toutes nos forces furent
jetées dans la bataille pour remportée cette victoire.

Ce chalenge m’a appris beaucoup sur moi-même et sur le besoin que j’avais d’évoluer. Après ce chalenge, j’éprouvais
le besoin de progresser, aussi je me tournais vers Cépafo, un glorieux seigneur parmi les anges pour lui demander de
m’aider à évoluer, ce qu’il fit très naturellement et là je repris le long chemin de ma quête, quête sans laquelle je ne saurait
vivre, cette initiation, ce long cheminement parfois douloureux, mais qui apporte tant à l’homme que je suis.

Aujourd’hui je fais le point sur ma vie sur mon parcours passé, mais aussi sur mon devenir.

Jamais au grand jamais je n’aurais pu penser qu’un jour je serais là, et je mesure tout le chemin parcouru depuis ce
misérable corps de ferme ou mes parents m’ont élevés; Plutôt bien d’ailleurs, car il ont suent m’enseigner les valeurs
qu’aujourd’hui je défend.

Aujourd’hui j’entrevois le but de ma vie et, grâce aux enseignements délivrés par les grands anges que sont tout mes
coreligionnaires je peux enfin savoir ou je vais et pourquoi je suis sur Inutopia.

Evendoria, encore une fois était reparti, mais ce départ n’était pas comme les précédents.
Evendoria sentait l’urgence et l’impérativité de ce retour chez lui...





LIVRE VI
(La vérité retrouvée)

En ce matin blafard, Evendoria retrouvait le long du chemin qu’il parcourrait, les odeurs et les couleurs de son enfance.
Il le savait c’était un gros risque que de revenir, mais au fond de lui, il avait entendu cette voie qui lui demandais de faire
le long chemin du retour.

Passer les villages de ses souvenirs, tout en longeant la rivière, il se rapprochait de Terrendoria la capitale,
ils étaient des centaines, que dis-je, des milliers d’hommes en armes se dirigeant vers Terrendoria.
De toutes part il entendait sur les lèvres des seigneurs et chevalier qu’il croisait les mêmes Mots « la corne d’Ingalia
avait retentis, cela faisait des siècles que cela n’était arrivé », Evendoria se dit que finalement cette voie dans sa tête c’était
ça !
Mais quel danger courait donc Terrendis pour que l’on ait fait sonner le cor d’Ingalia ?

A mesure qu’il s’approchait de Terrendoria la rumeur enflait; Il étaient là ils seraient aux portes de la ville d’ici un jour ou
deux. Les Barbares D’Inutopia avaient envahis notre terre, cette terre de liberté et de justice que nos anciens avaient
forgés à la force de leurs mains payant souvent le prix du sang pour garder leur indépendance.
Voilà donc la raison pour laquelle tout ces hommes en armes convergeaient vers Terrendoria.
Une fois entré dans la ville Evendoria se dirigea directement vers la forteresse d’Ingalia, ou il savait qu’il y trouverait
certainement un de ses vieux amis, et que celui-ci lui expliquerait ce qu’il se passait et ce que Conseil Suprême
allait décider.

En arrivant sous le porche d’entrée de la forteresses Evendoria, aperçu Michel , seigneur et conte de Resatille,
ami de longue date puisqu’ils avaient fait leur études ensemble et ils avaient même servis tout les deux dans les
cadet d’Ingalia pendant leur jeunesse.

« Salut à Toi mon ami » dis Evendoria,
Tu es la providence Even lui répondis Michel…

« La Providence ??? », (Evendoria n’y comprenait rien ).
« Que ce passe t’il donc Ici ?? ».
Cela fait des jours que nous t’attendons, notre messager est revenu hier au matin il ne t’as pas trouvé, d'ailleurs cela fait
des lustres que personne ne t’as vus ?
« j’étais en voyage, si l’on puis dire ».
Tu nous parleras de tout cela plus tard Even, pour le moment tu es attendu au Conseil Suprême il te faut te hâter..

« Le conseil Suprême, me hâter, Attendu ? Que se passe t’il donc Michel pourquoi cet empressement? ».
Tu n’es pas au courant Ingalia à fait donner du Cors sacré, tout les hommes en armes que compte Terrendis sont ici à
Terrendoria, le Conseil Suprême est en concile depuis 4 jours maintenant, et Ingalia t’as fait demander en urgence. Tu ne vas
pas me dire que tu n’est pas au courant?
« Je comprend maintenant cette voie dans ma tête qui me demandait de rentrer (de tout temps, la Grande Prêtresse de
Terrendis était choisi pour ses pouvoirs, elle lisait dans les pensée, elle entrevoyait l’avenir et elle pouvait aussi
(Evendoria venait d’en avoir la preuve), transmettre ses pensées à qui elle le désirait) ».

Michel entraina Evendoria au travers des méandres des petites rue de Terrendoria jusqu’à la place principale de la
ville.
Sur cette place trônait le temple de la Terre avec juste derrière, la grande tour d’Ingalia, siège du Conseil Suprême.
Arrivé devant la tour Evendoria sentis que le moment était grave et solennel.

Il fut escorté par une demie douzaine de Gardes prétoriens (ces hommes et femmes vouaient leur vie au service et surtout
à la protection de la grande prêtresse Ingalia), ils arrivèrent après avoir traversé deux immense salles d’apparat et un
couloir qui n’en finissait plus devant une porte immense faite de bois précieux.
Le grand chambellan était déjà en train de l’annoncer (Evendoria de Terrendis Grand duc de Terrendis, conte de
Terrendoria et filleul du grand commandeur Charles Antoine de Terrendis Archi duc de Terrendis et maitre de l’ordre
d’Ingalia), a chaque fois cela lui faisait un coup au cœur, lui qui n’étais qu’un simple fils de garde chasse.
Une fois rentré dans la Salle du Conseil Suprême, Evendoria tira une révérence A l’ensemble des membres
présent, mais Ingalia , elle-même le stoppa dans son élan.

Nous ne sommes pas ici pour toute ces fioritures Monsieur
le Duc, Voilà…
Nous, le Conseil Suprême, avons décidé à l’unanimité de vous nommer Grand commandeur de l’ordre de Terrendis,
avec pour mission de vous rendre sur Inutopia afin d’y faire régner la paix et la justice.
Car nous ne pouvons plus tolérer les incursions de ces troupes de barbares qui viennent aujourd’hui piller nos
villages.
Pour cela, vous disposerez de tout les pouvoirs à compter de ce jour, et vous aurez à votre dispositions les meilleures
troupes de Terrendis.

Il est de votre devoir de réussir, pour que Terrendis puisse vivre en paix pendant encore des siècles.

Evendoria se tut, il savait qu’il ne pouvait pas refuser, car le Conseil Suprême, avait décidé et l’on ne revenait
jamais sur ces décisions.

Evendoria était maintenant membre du Conseil Suprême, il allait accompagner Ingalia jusqu'à la grande terrasse du
temple qui lui était dédié, pour annoncer les décisions, et quelles décisions…

Puisqu’aujourd’hui était le premier d’une nouvelle ère pour les mondes civilisés. L’avènement des la justice divine et de
l’équité.
L’air était chaud et le soleil tirait ses derniers rayon sur le temple , vu de la terrasse, le peuple entier de Terrendis
devait être présent. Un brouhaha résonnait dans toutes les rues de la ville !!! Puis, Ingalia apparue sur la terrasse et le
silence ce fit…

Ingalia apparue...
Vêtue pour l’occasion de son plus beau costume d’apparat, elle rayonnait telle une étoile au firmament.
- "Mes enfants" lança t’elle. - "En ces heures sombres que nous vivons, le conseil suprême a décidé que nous ne
pouvions plus rester indifférent aux évènements qui se déroulent à nos portes.
Nos armées se déverseront sur Inutopia pour que la justice, l’équité et la liberté soit à nouveau de mise".

- "Tremblez ennemis du bien, car vous allez subir le courroux de la justice divine".

- "Nos chevaliers et leurs troupes menées par notre grand commandeur vont déferler sur vos terres tel un gigantesque
tsunami emportant sur leur passage, vilains et mécréants".

« La main ferme et le cœur pur » Telle est leur devise.

Les armées de Terrendis sont, la mains armée des faibles et des innocents. Inutopiens, sachez que vous êtes aujourd’hui
à l’aube d’un nouveau jour.


Livre VII
(le commencement...).

En cet an de grâce 1309, à quelques lieux d’Engayresque, petite province au sud de Terrendoria tout prêt de la frontière
avec Inutopia.
Le soleil de fin d'été dardait ses derniers rayons sur les épaules des serfs qui cultivaient les terres d'Ingalia
la Grande Prêtresse de Terrendis. Il est vrai qu'en ces temps de conflit aux portes de son
royaume, les récoltes étaient primordiales.
En effet, beaucoup de marchands arrivaient tout les jours d'Inutopia car, la bas, d’ intestines querelles déchiraient
souvent ceux qui la veille étaient alliés. Mais ce n'était pas cela qui préoccupait Arwen...
Il c'était mis en retrait de ses compagnons presque à la lisière de la forêt, personne ne pouvait voir son manège.
L'échine courbée, les mains enfouies dans les blés; il donnait le change, mais, sa tâche était toute autre,
lui le guerrier, lui qui avait combattu sur tous les champs de batailles d'Inutopia, il guettait le moindre bruissement
d'herbe, le moindre silence, il le savait Ingalia, avait reçu de ses espions infiltrés au sein même des plus puissantes
armées d’Inutopia, des informations sur les scélérats qui venaient depuis quelques temps sur les terres de Terrendoria
pour se livrer au pillage et à la razzia.

Il le savait du plus profond de son être, il le sentait tel un animal qui décèle dans l’air le parfum de sa victime.
Il serra plus fortement sa machette entre ses doigts, inconsciemment, il percevait le danger se rapprochant tout
les muscles de son corps étaient prêts à se détendre.

Tout à coup ! !!
Les oiseaux se turent, un frisson glacial semblait parcourir la forêt environnante.
D'un petit sifflement, Arwen, alerta l'ensemble de ses hommes qui contrairement à lui s’étaient dissimulés qui dans les
fourrées, qui sous les ballots de paille dans les charrettes...

Au moments ou les mercenaires sortirent de la forêt, tous étaient prêt au combat.
Arwen les laissa s'approcher un peu plus et, tandis que les paysans filaient telle une volée de moineaux interrompue
dans leur repas par un prédateur, Arwen se retourna, machette dans une main et épée dans l'autre il donna
le signal du combat. De toute part, les soldats apparurent. L'espace d'un instant, ce fut comme si le temps c'était arrêté,
on entendait juste, le bruit (presque un chuintement), que faisait les pas dans les blés.
Puis, ce fut le fracas des coups de haches et d'épées qui résonnaient sur les écus, les cris de rage et de douleur que
lançaient les combattants. En ce moment confus, nul ne pouvait dire en voyant un tel affrontement qui en ressortirait
vainqueur.
Après presque deux heures de combats acharnés, ce fut de nouveau le calme perturbé ça et là par les plaintes et
gémissement des blessés, ou lente agonie des mourants.
Au beau milieu de ce champ de bataille, Arwen, se tenait debout sur amas de cadavres, tenant dans sa main droite
tel un trophée, la tête encore sanguinolente de l’homme qui était le chef des Soudards envoyés pas les ennemis
de Terrendis. Pas un survivant chez les assaillants, seulement quelques pertes dans ses troupes.
Cette bataille allait sonner l'heure du réveil "des Armées de Terrendis".

Arwen enfourcha son cheval et, au triple galop il s’élança vers Terrendoria rendre compte à la grande
prêtresses, de la réalité des menaces qui semblaient depuis quelques temps peser sur le havre de paix qu'était
ce fabuleux royaume.

…Voilà pourquoi se sont misent en marche
« les Armées de Terrendis »...

LIVRE II(Le développement)




Les années étaient passées, Evendoria avait fait l’objet de toutes les attentions du seigneur de Terrendis, rien ne lui avait été épargné, il lui avait fallut apprendre à lire, à écrire, les mathématiques, les sciences… même danser tout cela lui paraissait parfois inutile et vain comment le fils d’uns pauvre garde chasse pouvait il rivaliser avec les fils des seigneurs de la régions?
Pourtant, à force de travail et d’acharnement il y était arrivé.
Le plus facile pour lui fut le maniement des armes (c’était sa passion).
Mais les choses ne sont jamais simple dans la vie, la jalousie des fils des seigneurs l’avait souvent conduit à la solitude, encore plus depuis la disparition de ses parents ainsi que du duc de Terrendis morts lors d’une attaque menée par des brigands disait on.
Mais Evendoria n’était pas dupe, même si à l’époque il lui avait fallu faire profil bas et accepter ces explications comme étant les bonnes, il savait au fond de lui même qu’il n’en était rien c’était purement et simplement un assassinat programmé pars la jalousie d’un cousin éloigné qui voyait d’un mauvais œil l’ensemble des terres , de l’argent et des titres de son oncle « chéri »… lui échappé au profil d’un bâtard comme il aimait à appeler Evendoria.

Aujourd’hui Evendoria pouvait enfin recommencer.
Progresser dans le droit fil des préceptes qu'on lui avait inculqué, seul cela comptait maintenant que le ciel semblait s'être enfin éclairci…

Sur ces nouvelles terres d’Inutopia (Qu'il avait baptisées Terrendis en souvenir de sont passé), il regardait le soleil se levé au dessus des grands lacs.
Certes, sont château n'était pas très grand ni très majestueux, mais il était sien, durement gagné à force de volonté et de labeur, quinze ans au service de la famille régnante sur Inutopia sans relâche ni repos, sans famille ni attaches.
Il estimait avoir amplement mérité ces terres ainsi que le titre de Baron lui qui avait été donné, lui Evendoria fils d’un garde chasse, le premier gueux adoubé chevalier par le roi.

Mais, dans la vie, tout semble recommencer à chaque fois, chaque avancée se fait toujours en payant le prix fort, et Evendoria n'allait pas tarder à l'apprendre.
Il était loin de se douter que la jalousie et de la méchanceté du monde qui l'entourait auraient quasiment raison de ses forces et de sa volonté.

Là, ce fut les pillages ininterrompus, les pires difficultés pour pouvoir avancer, la pire des misère pour pouvoir monter son armée.
Evendoria en était arrivé à un point ou il voulait tout quitter, quitter Terrendis ! Voir même partir d’ Inutopia.
Encore une fois le destin allait frapper sa porte sous la forme d’une rencontre.
Cette rencontre ne pouvait être fortuite elle semblait être le fait des puissances supérieures..
En effet, tout dans cette rencontre lui rappelait le passé, même vieillard barbu, même grande toge. Il le vit arriver au loin , c’était forcément lui il ne pouvait pas se tromper, plus il avançait vers lui, plus Evendoria se sentait repartir dans ses rêves oniriques d'ou il revenait toujours avec de nouvelles idées pour sont peuple…

Mais là... Non, il ne rêvait pas, il était bien réel ce vieil homme qui s'avançait vers lui.
- "Holà Viel homme, que puis-je faire pour vous" lui dit il sur un ton de grand seigneur.
- " Vous pour moi ? (lui rétorqua le vieux), c'est plutôt moi pour vous monseigneur".
- « ha bon, et que pouvez vous faire ou m'apporter que je n'ai déjà ?".
-" Une famille, un idéal, bref en un mot un avenir...".
Devant ses propos Evendoria savait au fond de lui-même que toute sa vie tenait là à cet instant, comme si tout ce qui était arrivé n’était arrivé que pour cet instant… En l’espace d’une minute Evendoria se remémora toute la chronologie de sa vie et tout s’emboitait parfaitement pour le conduire a ce moment précis ou en quelques minutes il allait devoir décider pour le reste de sa vie.
Et c'est ainsi, après avoir écoute Charlemage pendant des heures lui expliquer toutes ces choses qui lui semblaient troubles voir folles qu'Evendoria se décida de rejoindre la grande cité Blanche.

Bien sur qu’il en avait entendu parler, c’était un mythes, une légende beaucoup aurait voulu y accéder mais peu d’élu car la sélection était rude. Il fut tout d'abord apprenti, et ses maîtres n'étaient pas tendre avec lui des jours et des nuits entières à travailler pour apprendre et progresser.
Toutes le matières tels la magie étaient au programme des jours et des semaines à avancer pas à pas pour gagner en confiance puis faire preuve de son courage et de son dévouement
Un beau jour, Evendoria fut convoqué devant le conseil de sages et on lui annonça.
- Seigneur Evendoria de Terrendis, à compter de ce jour Vous êtes un Mage Blanc » ; portez haut ces couleurs et respectez nos règles".
- »Choisissez vous une famille et faite lui honneur ».
C'est ainsi que depuis ce jour seigneur qui se présente devant vous, après moult quêtes et de nombreuses batailles, est fier d'appartenir à l'illustre famille des Mages Blanc.

L'adage est vrai et vérifié...
"Mage Blanc un jour, Mage Blanc toujours".

LIVRE III(la retraite)


Les années ont passée, Evendoria devenait une Mage Blanc respecté.
Mais un jour, alors qu’il se promenait sur les rives du lac D’Ereins, immense lac qui bordait la grande forêt de Terrendis, il se mis à réfléchir...
(Ou vais-je, que fais-je de ma vie ???).

Toutes ces aventures lui avaient elles emmenées quelques choses...
Plus il réfléchissait, plus en lui la certitude de devoir partir s'encrait, que connaissait il d'Inutopia ???
Rien en fait; Dure réalité qui lui pesait de plus en plus.
Après avoir réfléchit quelques temps, il décida de quitter la grande cité blanche des Mages Blancs.
Oui, il allait tout abandonner pour faire retraite (un retour aux sources en quelques sorte, il se devait de faire le chemin tel un nouvel apprentissage, telle une initiation, une purification...
Tout laissé derrière lui "Adieu château, famille, amis et tout ce que représentait les Mages Blancs" (pour sur qu'il ne les oublierait jamais).
Mais il était temps de faire son chemin, de trouver sa voie.

Peut être un jour, quand il aurait trouvé la plénitude et la sagesse il reviendrait.
Mais aujourd'hui c'était le début d'un long chemin qui se présentait à lui, nul ne savait ou il finissait ni même si il finissait c'était sa quête du Graal, sa purification.

Il laissa un mot à ces amis et parti...
Depuis sur Inutopia vous pouvez le croiser au détour d'un chemin, à guerroyer contre les oppresseurs de toutes sorte, ou encore à la table d'une taverne un soir de trop grande solitude à conter ses histoires et ses batailles.


Si vous le rencontrez ne le jugez pas......



LIVRE IV
(Le renouveau)


Evendoria de Terrendis c'était retiré des hommes et avait quitté la grande citée Blanche mais il n'arrivait pas à retrouver la paix intérieure.

Partit se réfugier dans le seul endroit dont il savait que personne ne viendrai le déranger, il avait retrouvé ces anciennes habitudes de chasse et de cueillette.
Certes ! Ce n'était pas là, les fastes de son château mais sa caverne l'avait protégé et il s'y sentait comme dans un autre monde, à l'écart des hommes retiré d'Inutopia.
Parfois, lorsque la solitude lui pesait de trop, Evendoria partait sur les routes d'Inutopia s'enivrait dans les tavernes en racontant sont histoire.

Mais un matin, une lumière le réveillât. Surpris (et en colère contre lui même); de ne pas avoir entendu ces intrus arriver il se leva d'un bond prêt à en découdre...
A sa grande surprise, personne, pas âmes qui vive dans sa grotte, ou, tout à coup régnait une atmosphère chargée, dense, plus d'écho, plus le bruit du torrent qui coulait en contrebas, non plus les bruits habituels de la forêt environnante.

Evendoria avait déjà ressenti cela par deux fois, et chaque fis, son avenir avait été changé...
Il ne comprenait pas ... pas de barbu en grande toge à l’horizon, rien si ce n'était cette lumière douce, mais tangible comme matérielle, Allait il la toucher,?
Après un bref moment d'hésitation il se décida enfin que pouvait il craindre de toute façon...
Là, il se senti enveloppé puis come happé par la lumière tout son corps se disloquait.
Puis ce fut le trou noir l'attente sinistre et interminable (Evendoria pensait voilà c'est fini pour moi les grands esprits d'Inutopia m'on rappeler à eux).
Petit à petit son esprit tout d’abord puis son corps semblaient à nouveau ne faire plus qu'un, ses yeux commençaient à apercevoir des formes diffusent tout d’abord puis plus nette pour enfin se retrouver devant LUI, non ce n'était pas possible se ne pouvait être LUI on l'avait vu disparaitre et monter au ciel....
Ses idées étaient à nouveau claires, Evendoria voyait et entendait, mais il n’arrivait pas à croire à ce que Mitchos et Sa compagne Dame Elodie étaient en train de lui dire…
-« Evendoria de Terrendis,; Nous t’avons fait venir auprès de nous parce qu’il est temps pour toi d’accomplir ta vie. Tu recevras parmi nous le savoir nécessaire à ta future tâche ».

Que pouvait il faire, que devait il dire, Mitchos était du temps ou Evendoria l’avait connu chez les Mages Blancs considéré comme un dieu vivant, et depuis sa montée au ciel bon nombres d’histoire couraient sur lui et ses anges ( les Angels’ Battefield),

Evendoria était honoré de pouvoir être de ceux là…
Il le savait enfin, il le sentait au plus profond de lui-même c’est là que ce trouvait sa voie,
Il ne s’attendait pas à ce que ce soit facile mais, peu lui importait l’essentiel était là il avait retrouvé en arrivant bon nombre de connaissances soit des mages blancs soit d’autres clan avec qui il avait croisé le fer. Tous de respectable guerriers endurcis au combat mais don le cœur avait su rester pur...



A SUIVRE...
Evendoria de Terrendis
Le gardien des secrets de la Terre.

LIVRE V
(La quête)


Le temps c’était écoulé sur les terres sacrées des Angels’ Battefield.

Bon nombre de combats avaient eu lieux, mais le plus ardent de tous étaient sans conteste le chalenge heverly’s, ce chalenge créer en l’honneur des morts pour leur village par les honorable seigneurs de la cité perdue.

Tout commença par l’arrivée un matin blafard du mois de novembre du seigneur Aldarion dernier descendant des morts d’Heverly’s, il portait une invitation pour participer a ce glorieux chalenge ou de grand clans avaient inscrit leur nom…

Ce jour là point besoin de concertation, dans leur tête tout les Anges le savait, il nous fallait participer, en effet ce chalenge renfermait dans sa nature même l’ensemble des devoirs qui régissait les terres sacrées.
Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que Métatron , parle au travers de notre Archange « Mitchos ».

Nous nous présentâmes au chalenge ou, nos adversaires (souvent bien plus expérimentés que nous), les Templiers, Faérie, et les Vardens (organisateurs).
Nous attendaient de pieds ferme.
La première croisade contre nos amis Templiers fut rude et très discutée, mais la pugnacités et le courages des Anges, nous permirent au bout du compte de sortir vainqueur.

La seconde bataille contre nos amis Varden fut elle aussi très difficile et, ce n’est qu’au prix d’une rigueur et d’un courage hors du commun que nous pûmes sortir là aussi vainqueur.

Pour remporter ce chalenge il nous fallait encore remporter une victoire contrez Faérie… Là, toutes nos forces furent jetées dans la bataille pour remportée cette victoire.

Ce chalenge m’a appris beaucoup sur moi-même et sur le besoin que j’avais d’évoluer. Après ce chalenge, j’éprouvais le besoin de progresser, aussi je me tournais vers Cépafo, un glorieux seigneur parmi les anges pour lui demander de m’aider à évoluer, ce qu’il fit très naturellement et là je repris le long chemin de ma quête, quête sans laquelle je ne saurait vivre, cette initiation, ce long cheminement parfois douloureux, mais qui apporte tant à l’homme que je suis.

Aujourd’hui je fais le point sur ma vie sur mon parcours passé, mais aussi sur mon devenir.

Jamais au grand jamais je n’aurais pu penser qu’un jour je serais là, et je mesure tout le chemin parcouru depuis ce misérable corps de ferme ou mes parents m’ont élevés; Plutôt bien d’ailleurs, car il ont suent m’enseigner les valeurs qu’aujourd’hui je défend.

Aujourd’hui j’entrevois le but de ma vie et, grâce aux enseignements délivrés par les grands anges que sont tout mes coreligionnaires je peux enfin savoir ou je vais et pourquoi je suis sur Inutopia.

Ma Quête je vous le dis,
N’est pas le but de ma vie,
Ma Quête je vous le dis,
Fait avancer ma vie,
Ma Quête je vous le dis,
M’a fais découvrir des amis.

Vous tous les Anges,
En vrai et pour la vie,
Vous êtes plus que des amis,
Vous êtes ma famille.


A suivre...